Le principe est assez simple : à l'aide d'une émulsion photosensible ou du papier, on bloque les pores d'un écran de tissu pour créer un pochoir. En diffusant de l'encre sur l'écran, on obtient un dessin.
En plus des t-shirts, la sérigraphie est encore largement utilisée pour les affiches, les objets de consommation courante et surtout, pour les panneaux de signalisation. Cette panoplie d'articles n'est plus, pour la plupart du temps, imprimée à la manuellement, le procédé a maintenant été mécanisé, mais beaucoup d'artisans l'utilisent encore à la main.
Ce vidéo est un exemple d'une petite partie de l'industrie de la sérigraphie à L.A. J'adore vraiment le type de réalisations qu'ils font; ça donne aussi une bonne idée des particularités du médium.
Crédit : Miroslav Sasek (Je ne possède pas les copyrights de cette image et je ne suis pas capable de trouver à qui ils appartiennent (Est-ce que ça lit le français des billionnaires?)) |
J'ai très hâte de faire mes premiers imprimés, mais le matériel coûte très cher (au dessus de 500$) donc je n'ai pas encore pu tout m'acheter. Pour donner une idée, chaque feuille de papier que je prend pour imprimer coûte 3$ l'unité.
voici quelques éléments que je vais utiliser |
Étant donné que nous sommes beaucoup à utiliser l'atelier, il faut tout identifier; j'ai trouvé une utilité pour mes collants. Ceci dit, j'ai pensé que je pourrais vendre des imprimés sur ma boutique Etsy que j'avais créé pour mes marionnettes (projet qui va attendre à cette été à cause du temps qui manque).
En plus que le cours soit extraordinaire, grâce à mon école, je vais pouvoir participer à deux expositions de groupe, dont une où mes imprimés vont être soit vendus ou échangés avec ceux de d'autres artistes du monde entier; dans les deux cas, je serai gagnant.
Enfin quelque chose de plus dans mon CV! que j'ai d'ailleurs modifié à l'aide de cette gentille fille qu'est Karen Kavett dont j'ai parlé plus tôt.
Aucun commentaire:
Publier un commentaire